Face à un système de retraite par répartition qui demeure insuffisant, le Plan d’Epargne Retraite Individuel (PERIN) s’impose comme une solution complémentaire pour préparer et anticiper votre départ à la retraite. Vous épargnez à votre convenance pour créer un complément de revenus à la retraite ou pour disposer d’un capital.
Ainsi, le PERIN vient remplacer les anciens PERP et MADELIN.
Comment fonctionne un contrat d’épargne retraite individuel ?
Le PERIN, qui peut y prétendre ? Et pourquoi ?
Depuis la loi PACTE du 22 mai 2019 relative à la croissance et à la transformation des entreprises, de nouvelles dispositions s’offrent à vous pour harmoniser les anciens produits (Per, Madelin, Perco, Article 83…).

Vous êtes salarié ou travailleur non salarié, fonctionnaire, profession libérale ou sans profession ?
Vous pouvez maintenant ouvrir un Plan d’Épargne Retraite Individuel pour anticiper le futur.

Vous changerez plusieurs fois de statut durant votre carrière ?
Le PERIN sera la solution permettant d’harmoniser tous les systèmes de retraite par capitalisation acquis tout au long de votre vie d’actif.

Un suivi personnalisé tout au long de votre carrière
Au sein du cabinet, nous nous efforçons de faire des points annuels et ponctuels avec notre clientèle. En effet, en fonction d’une hausse ou d’une baisse d’activité, nous décidons ensemble d’une augmentation ou d’une diminution de vos versements programmés.
Par ailleurs, nous gérons pour vous les actifs financiers intégrés à votre Plan d’Épargne Retraite.

Le + du PERIN
Le principe du Plan Épargne Retraite ?
Vous ne pouvez toucher aux primes versées durant toute votre carrière professionnelle. En effet, l’objectif final de ce plan se situe bien à l’horizon de votre retraite.
Quelles sont les exceptions ?
Avec l’introduction de la loi Pacte, vous pouvez effectuer une sortie anticipée pour acquérir votre résidence principale. Par ailleurs, en cas d’accidents de la vie votre épargne est aussi disponible par anticipation :
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- Le décès de l’époux ou du partenaire de Pacs ;
- L’expiration des droits d’assurance chômage, ou pour le titulaire d’un Plan qui a exercé des fonctions d’administrateur, de membre du Directoire, ou de membre du conseil de surveillance, l’absence de contrat de travail ou de mandat social depuis 2 ans au moins à compter de son non renouvellement ou de sa révocation ;
- L’invalidité de 2e ou 3e catégorie de la Sécurité sociale du titulaire du Plan ;
- Le surendettement ;
- La cessation d’une activité non salariée suite à un jugement de liquidation judiciaire.